Goa

Arrivée à la gare de Panaji, capitale de l’État de GOA, le 17 janvier vers 19h00. GOA est situé sur la côte sud-ouest. La région constitua une part des colonies portugaises d’Inde. Formant avec Daman et Diu et Dadra et Nagar Haveli, l’État Portugais de l’Inde. La capitale régionale est Panaji, également appelé Panjim. Après 450 ans de présence portugaise, Goa a été repris par les troupes indiennes sous Jawaharlal Nehru le 19 décembre 1961. Séparé de Daman et Diu et de Dadra et Nagar Haveli qui sont restés territoires. Goa a acquis le statut d’État de l’Union le 30 mai 1987.

De nombreuses excursions touristiques sont possibles à Goa :

Son patrimoine religieux est riche: de nombreuses églises des XVIe et XVIIe siècles, en particulier la basilique du Bon Jésus et la cathédrale Sainte-Catherine, toutes deux à Old Goa.

À l’intérieur du pays se trouvent des rizières, et au sud, des forêts vierges et des cascades.

Mais l’activité principale se situe au niveau du littoral. Où d’immenses et nombreuses plages attirent actuellement les Indiens, mais aussi, et surtout les occidentaux. Le festival de la Full Moon Party a lieu sur les plages de Anjuna Beach et Vagator. Et il est un des plus importants rassemblement de culture et de musique trance. La trance psychédélique est en effet née, pour beaucoup, dans cette région de l’Inde au cours des années 80.

Badami

Badami est une ville de l’État du Karnataka en Inde, située dans le district de Bagalkot. Connu autrefois sous le nom de Vatapi, Badami fut autrefois la capitale de la puissante dynastie des Chalukya.

Le village actuel s’est maintenu au pied de l’ancien barrage qui a permis de créer le petit lac artificiel d’Agastya,  au creux de ses falaises rouges marbrées, creusées de sanctuaires rupestres spectaculaires et surmontées de constructions anciennes.

Sur la rive du lac la plus éloignée du village le temple Bhutanatha possède, du fait de son isolement dans ce cadre majestueux et néanmoins verdoyant, une très grande qualité de composition, fondé sur des horizontales qui jouent avec leurs reflets dans les eaux. Il a été réalisé plus tardivement que les grottes et que le temple de Shiva, Malegitti Shivalaya, construit sur l’éperon rocheux, au-dessus du site.

Aihole

Situé dans l’État du Karnataka à une trentaine de kilomètres de Badami est un des centres de l’art des Chalukya de Badami (milieu du VIe-milieu du VIIIe siècle environ), probablement celui où se sentent le mieux la diversité de cet art, l’originalité de ses partis architecturaux et la multiplicité des contacts extérieurs qui ont accompagné son développement.

Le site a été occupé avant la période  Chalukya (dolmens, structures en brique, etc.) et la ville a continué à vivre longtemps après cette période, témoins les nombreux temples postérieurs et la fréquente mention d’une guilde  d’Aihole dans les inscriptions médiévales de l’Inde du Sud.

Pattadakal

Dans l’État du Karnâtaka, illustre l’apogée d’un art éclectique qui, aux VIIe et VIIIe siècles, sous l’égide de la dynastie des Châlukya, sut réaliser une heureuse synthèse des formes architecturales du nord et du sud de l’Inde.

On y trouve une imposante série de neuf temples hindouistes, ainsi qu’un sanctuaire jaïn. Dans ce groupe se détache un pur chef-d’œuvre, le temple de Virûpâksha, élevé vers 740 par la reine Lokamahadevi pour commémorer la victoire de son époux sur les souverains du Sud.

Hampi

C’est un village de l’État du Karnataka en Inde. Il est situé à l’intérieur de l’enceinte de la ville en ruine de Vijayanâgara, l’ancienne capitale du royaume de Vijayanâgara, dans la vallée de la Tungabhadrâ.

La population s’est installée dans les maisons bordant la rue principale, faisant de Hampi Bazaar une bourgade animée et prospère.

Le village vit principalement de l’agriculture, des retombées économiques des pèlerinages dans les lieux saints  et du tourisme qui tient une place de plus en plus importante. Le village était probablement aussi un centre religieux actif avant même l’établissement de l’Empire indien. Il l’est toujours par l’intermédiaire en particulier du temple de Virupaksha.

Belur

Belur est un village dans l’état du Karnataka, qui possède, comme sa voisine HALEBID, un important chef-d’oeuvre de l’architecture et de la sculpture indienne.  Elle fut une grande cité des souverains Hoysala, qui régnèrent entre le XIe et le XIVe siècle. Les Hoysala se convertirent au jaïnisme, ce qui explique la cohabitation de divinités jaïnes et hindoues.

Le monument principal de la ville est le temple de Chennakeshava, dont la construction débuta en 1116, pour s’achever 103 ans plus tard. Elle fut initiée pour célébrer la victoire des Hoysala sur les Chola. Le temple possède par ailleurs un gopuram construit au XIVe siècle et un bassin.

Halebid

Halebid fut une grande cité des souverains Hoysala, qui régnèrent entre le XIe et le XIVe siècle, et devint capitale du royaume en 1060.

La construction du temple de Hoysaleswara, entamée vers 1121, dura 80 ans, ne fut jamais achevée. On retrouve son style dans le plan en étoile et la très grande finesse des sculptures.
Il y a trois temples principaux.

Shravanabelagola ou Shravana-Belgola

C’est une ville de l’État du Karnataka en Inde, dans le district d’Hassan. C’est le plus important centre religieux du Jaïnisme, surtout connu pour la colossale statue de Gomateshvara, vieille de plus de 1 000 ans et sculptée dans un seul  bloc, haut de 17 m, perché en haut de 612 marches.

Mysore

Mysore est située à 146 km au sud-ouest de Bangalore, la capitale du Karnataka. Le nom de Mysore est la version anglicisée de Mahishūru, ce qui signifie « le corps de Mahisha ». Mahisha vient de Mahishasura, un démon de la mythologie hindoue. La ville s’étend sur 128,42 km2 et se situe aux pieds des Chamundi Hills.
Mysore tire son nom de la ville de Maïssour, qui était autrefois la capitale de la principauté.

Le palais de Mysore est l’incontournable curiosité à voir.
Les guirlandes électriques du palais de donnent à rêver des splendeurs des maharajas de jadis ; cette  » folie  » indo-musulmane a été construite par un architecte anglais en 1912, à la suite de l’incendie du palais précédent en 1897.

Art

Mysore donna naissance à une école de peinture classique de l’Inde (xivexixe siècle). Les peintures du style Mysore sont réputées pour leur élégance, le souci du détail et la douceur des couleurs employées. Les thèmes préférés dépeignent les dieux et déesses, de même que les scènes des mythologies hindoues.